Le Labohem Cowansville
Le Labohem révèle l’identité culturelle d’une région.
Le Labohem une intervention pluri artistique et sociale qui s’implante un mois dans Cowansville pour créer une exposition avec la population locale. Le Labohem révèle l’identité culturelle d’une région.
Des artistes professionnels photographient, dessinent, décrivent, filment et enregistrent le quotidien des gens de Cowansville dans leur milieu de vie. Ces photos, dessins, textes, installations vidéos s’exposent jour après jour à travers la ville, sur internet et dans votre entreprise.
Visitez l’atelier au 100, rue Principale chaque samedi de 13h. à 15h. pour y rencontrer ces artistes et découvrir le processus de création.
Un «dévernissage» clôt la manifestation le vendredi 22 octobre 2010 à l’atelier dès 17h, avec une projection sur grand écran de la totalité de la production. Un traiteur et un vignoble (Les Diurnes) seront sur place. Toutes les affiches exposées seront soumises à un encan silencieux. Il y aura également la possibilité de se procurer le DVD de l'événement, de même que de commander de nouvelles affiches. Au plaisir de vous rencontrer!
Les artistes sont :
Lucie Champoux (dessin-peinture),
Yolande Brouillard (dessin-peinture),
Sammy Fortin (photographie),
Steve Pellerin (photographie),
Martin Morissette (vidéo),
Jean-François Hamelin (vidéo),
Steve Marier (vidéo),
Fred Nony (photographie et dessin),
Ako Millette (écrivain)
Stéphane Lemardelé (dessin)
Pour nous contacter : Le Bocal : 450-538-5388
ou recopier cette adresse mail : slemardele@sympatico.ca
Ce Labohem est rendu possible grâce à l'implication financière de la Ville de Cowansville, du Pacte rural de Brome-Missisquoi, de la Caisse Populaire Desjardins Brome-Missisquoi, de Graphico-Tech / Impression DF, Boucherie-Soucy, Bistro la-Fine-Gueule, Fleuriste-Antique, Chaussures-Brault, Brasserie-la-Rivière, Jean-Coutu et IGA.
Rémi

Rémi
Lino

Lino
DG

DG
Musiciens

Musiciens
Mme Ballivy

Mme Ballivy
Bénévoles

Bénévoles
Douglas

Douglas
Daniel

Daniel
Jean-Marie

Jean-Marie
Famille

Famille
Diane

Diane
Cleaton

Cleaton
Thomas

Thomas
Alain facteur

Alain facteur
Mélanie

Mélanie
Mario

Mario
Tania

Tania
Linda

Linda
Bénévole

Bénévole
FG

FG
Vie de nuit

Vie de nuit
Joyce

Joyce
Sophie beau matin

Sophie beau matin
François

François
Marie

Marie
Burn

Burn
Nathalie B

Nathalie B
Olivier

Olivier
Rider

Rider
Berni

Berni
Photographe
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Photographe
17-5

17-5
Chauffeur2

Chauffeur2
Danielle et son petit fils

Danielle et son petit fils
Andrea

Andrea
André B

André B
Francine

Francine
Labo

Labo
Friends

Friends
Étudiante

Étudiante
Chauffeur

Chauffeur
Marcel

Marcel
Chantal

Chantal
Patrice

Patrice
Pierre et copains

Pierre et copains
Mélanie

Mélanie
Kathia

Kathia
Chantal

Chantal
Nathalie

Nathalie
Regardeur

Regardeur
Travailleurs

Travailleurs
Mariane

Mariane
Nesbitt

Nesbitt
Sylvain

Sylvain
Frère et soeur

Frère et soeur
Carol et Gabriel

Carol et Gabriel
Les yeux

Les yeux
Dame du resto

Dame du resto
Normand

Normand
Le café

Le café
Collage

Collage
Dame au café

Dame au café
Nicolas

Nicolas
Monique et Sylvie

Monique et Sylvie
Hélène

Hélène
Karine et Stéphanie

Karine et Stéphanie
Lisette

Lisette
M. Bonbons

M. Bonbons
Play-ball

Play-ball
Mireille

Mireille
Jessica

Jessica
Tim

Tim
Les gens de ma ville

Les gens de ma ville
Les gens de ma ville
Là où j’ai planté mon drapeau prédominent encore des mœurs de convivialité sociale où fusent sourires et paroles. Bien que Ville, Cowansville conserve l’esprit d’un gros village que la montée individualiste et le stress farouche des grandes cités semblent avoir épargné. Les natifs vous diront qu’ils connaissent presque tout le monde de la maternelle à aujourd’hui. Avenants et volontaires quand il est question d’entraide, les citoyens répondent spontanément par l’affirmative.
A la fois enracinés et en mouvement, animés par une fierté d’être ce qu’ils sont, là où ils sont, un grand nombre de résidents projettent sur leur Ville une envie de prospérité et de développement harmonieux. Tous aimeraient qu’en cette même localité, leur progéniture puisse, tout comme eux, établir ses assises au lieu de devoir s’exiler pour trouver du boulot. Mais pour l’instant, la mondialisation du commerce siphonne nos derniers bastions industriels….
Comme disent certains :
«L’heure est à la créativité et à la recherche d’alternatives!»
Défi que membres visionnaires et bâtisseurs d’avenir de la communauté, manches retroussées, s’apprêtent à relever.
À la croisée des chemins, comme une recherche d’âme, une pulsion montante, une envie de se révéler à soi-même, la collectivité revendique et chemine résolument vers une identité culturelle bien à elle.
Là où je vis, les gens sont beaux, vivants et humains…
Ako Millette
Amitié

Amitié
Stéphanie

Stéphanie
Sucrerie

Sucrerie
St-Raphael

St-Raphael
Pierre

Pierre
L'homme joyeux

L'homme joyeux
Le quotidien

Le quotidien
Yanick

Yanick
Fragile

Fragile
Élisa

Élisa
Complice

Complice
Le Maitre de musique

Le Maitre de musique
Le Maitre de musique
Des notes éparses qui se cherchent, s’entrechoquent puis s’évanouissent. Ça vibre fort dans le local de musique de l’école élémentaire St-Léon.
«Les débuts de saison sont toujours difficiles pour un jeune en Harmonie, il ne sait pas toujours s’il pourra y arriver!»
Tout se joue dans un climat de très grand respect. La confiance doit régner sinon il faut l’apprendre. Ici, tout le monde compte sur tout le monde.
La baguette s’agitant selon une chorégraphie prédéfinie, les antennes dressées, Serge capte, en plus des tonalités, tout ce qui se passe et réagit : les postures, les malaises, les sentiments. En interaction constante avec une marmaille aspirant nerveusement à la musicalité, il s’amuse, rassure et conforte.
Depuis 32 ans déjà, cet humaniste débordant de passion relève avec brio le défi : les bons sons au bon moment, tous ensembles.
Pleinement conscient de son rôle, il sait que par le biais de la musique, il conduit les élèves vers un rond point aux multiples avenues d’apprentissage : sens des responsabilités, solidarité, effort et persévérance, capacité de discernement, reconnaissance et appréciation du travail des autres, capacité de dédramatisation. Plus encore, c’est la vie qu’il enseigne …
Pour lui, un moment de grande fierté :
«Quand, lors d’une prestation, un jeune fait un canard ou brise un bâton de percussion, qu’il en rit et continue, c’est signe qu’on a fait du chemin!»
Ako Millette
Entre amis

Entre amis
Bénévole

Bénévole
Voisin

Voisin
Audrey

Audrey
Julia

Julia
Julia
Dans 3 semaines et 5 jours j’aurai 6 ans
À la maternelle, j’ai du plaisir à jouer avec la peinture, des pinceaux et des étampes, comme ça, tu vois!
Quand je reviens à la maison, je fais du skate avec ma vraiment bonne amie Laurie
J’adore les chats mais il y en a un dont on a dû se débarrasser car il faisait caca partout, même dans mon lit, je trouvais ça dégueulasse!
Puis j’aime l’été, le chocolat et les fruits sauf les asperges
Je ne regarde pas tellement la télé et surtout pas jusqu’à 10 heures
Hey! C’est long tes questions!
Il y a des histoires qui me font rire beaucoup!
Connais-tu celle des trois p’tits canards qui traversent un pont?
Je vais te la raconter…
Ako Millette
Balade dans le champ

Balade dans le champ
Yanic photo

Yanic
Jessica

Jessica
Dominic et Simba photo

Dominic et Simba
Inconnu

Inconnu
Il pleut sur Cowansville
IL PLEUT SUR COWANSVILLE
Pluie teintée de couleurs d’automne,
Un rideau translucide et pudique sur les alentours,
Un cortège de feuilles qui défilent dans les rigoles
Comme des péniches miniatures dans des canaux,
Des creux, des nids de poules trompeurs nivelés en flaques,
Des gouttes d’eau qui tambourinent sur une variété infinie de textures
Offrant un concert hypnotique à modulations sourdes et subtiles,
Les activités extérieures réduites à l’essentiel,
Cowansville prend, sous cette grisaille, un visage d’intériorité,
Serein, paisible, actif mais discret.
Je peux marcher sans hâte car j’étrenne fièrement mon nouveau parapluie.
J’entre et sors dans les commerces pour y installer des affiches.
À force de manipulations, déjà fatigué, mon fameux parapluie se déglingue.
Quelques jurons plus tard sur les produits chinois, mon sentiment de protection se transmue en désolation.
Heureusement les marchands sont accueillants.
Je ne voulais pas me tremper mais bon, je friserai un peu plus! Réflexe d’acceptation, mon cerveau entonne «I’m singing in the rain».
Mais tout de même, quel temps …!
Ako Millette
Mario

Mario
Entrevue silencieuse avec Mario
Lui (L) – Mise à nu
Moi (M) – Je suis content qu’il accepte de se prêter à ce drôle d’exercice
L – Quête d’anonymat
M – Très souriant ce gars-là, il a un visage sympathique
L – Le sous-bois, le respect (là où je l’ai photographié)
M –D’habitude il parle sans arrêt, je découvre une autre facette de lui, il devient sérieux et concentré
L – Le calme
M – Le silence lui va bien. Peut-être que son énergie de parole s’est canalisée dans sa main car il n’arrête pas d’écrire
L – La démarche artistique, l’âme de la personne
M – Je lui connais un bon sens de l’humour, un sens de l’émerveillement, j’ai hâte de voir ça!
L – Le temps, le silence, la noirceur, des valeurs d’équilibre
M – C’est un grand passionné, un impliqué social, parfois en écrivant il pince les lèvres, qu’a-t-il tant à raconter??? Comment va-t-il? Il semble très occupé, famille, travail…
L – La famille, le noyau de toute société
M – Ses préoccupations sociales, changer le monde pour le rendre meilleur
L – L’individu s’affranchit des idées reçues pour voir au-delà
M – Je suis surpris qu’il ait tant à écrire
L – Entendre la pluie et être conscient de tous ses bienfaits et impacts ainsi que la poésie qui en découle
M – Je me centre au niveau du cœur, j’aime bien ce personnage, je le sens dévoué, attentionné, aimant, un bon vivant quoi
L – Le dos d’une mule ou sensuel comme une femme, le dos porte toujours quelque chose
M – J’aime bien blaguer, voire délirer avec lui, c’est pour ça que je l’ai choisi, je savais qu’il embarquerait aisément dans cette folle aventure
L – L’observateur observé
M – Le 10 minutes est terminé et il continue d’écrire…
L – L’implication nous fait toujours connaitre des gens avec de grandes valeurs
M – Un sourire lui apparait au visage, j’imagine qu’il élabore sa conclusion, je crois que je vais devoir l’arrêter
L – Nous, comme société, comme individus, est-ce que nous devons réfléchir à ce que nous construisons comme avenir…?
Ako Millette
Hugo photo

Hugo
Qui regarde photo

Qui regarde
sandrine

sandrine
Jos photo

Jos
Marie Pierre

Marie Pierre
Rachida photo

Rachida
Achille

Achille
Le reader photo

Le reader
Michel

Michel
Gilbert photo

Gilbert
Le saisonnier photo

Le saisonnier
Isabelle

Isabelle
Germain photo

Germain
Karina

Karina
And photo

And
Gilles

Gilles
Travailleurs photo

Travailleurs
Rachel photo

Rachel
Jessica

Jessica
Laura et Buddy photo

Laura et Buddy
Couple photo

Couple
J.C

J.C
Hélène photo

Hélène
Douglas

Douglas
Serge photo

Serge
Ramon

Ramon
Ramon photo

Ramon
Alain

Alain
Le concierge photo

Le concierge
Musicienne photo
Musicienne
Cathy

Cathy
Kevin photo

Kevin
Mme Tournesol photo

Mme Tournesol
Pompier2 photo

Pompier2
Pompier photo

Pompier
Claire C

Claire C
Claire C
Mes moments de grand plaisir :
- déballer les boites de volumes qu’on nous apporte pour découvrir leur contenu, je m’émerveille comme devant un coffre aux trésors.
- retracer un ouvrage et voir les yeux de la personne qui le cherchait depuis longtemps s’illuminer de joie lorsque je le lui remets.
Souvent je reçois un livre et cinq minutes plus tard une personne qui le cherchait justement entre au Sac à Mots.
Le synchronisme ici est surprenant!
Ako Millette
Anthony photo

Anthony
Le pied

Le pied
Claude photo

Claude
Nancy

Nancy
Mario photo

Mario
Guy photo

Guy
Laurence

Laurence
Maitresse et Noukshouk photo

Maitresse et Noukshouk
Louise

Louise
Louise
Native de Cowansville, j’ai hérité ça de mon père qui en a fait beaucoup.
J’ai souvent ramassé des fonds pour toutes sortes de causes. Tellement qu’à un certain moment, j’ai même passé pour une «quêteuse» auprès de mes connaissances qui me voyaient venir de loin … Mais c’était tellement gratifiant d’aider les jeunes ou les personnes dans le besoin que ça valait n’importe quel bonheur.
J’me suis même déjà présentée aux élections municipales comme conseillère de mon quartier. Je voulais travailler à ramener de l’emploi pour les jeunes de Cowansville. Mon plus beau souvenir est d’avoir frappé à 1029 portes et d’y avoir rencontré autant de monde car, voyez-vous, côtoyer les gens, c’est ma passion!
Pour l’instant, je m’implique surtout au Diapason, où j’organise des levées de fonds pour permettre aux personnes en fin de vie de mourir décemment, en toute dignité et… gratuitement.
Le bénévolat, c’est peut-être ce que j’aurais dû faire toute ma vie, Je me réalise beaucoup là-dedans!»
Ako Millette
La Fine Gueule

La Fine Gueule
Mireille

Mireille
Réal

Réal
Réal
Simple dans sa façon d’être, Réal est l’homme qu’on aborde aisément.
Ces yeux pleins de douceur, comme un puits de lumière au fond duquel, pour peu qu’on s’y laisse glisser, nous révèlent une âme magnanime qui donne tout son sens au mot «BONTÉ».
Généreux de sa personne, la cause des jeunes l’interpelle spécialement.
Il assume avec conviction, tel un Chevalier des temps modernes, ses responsabilités sociales :
«Il y a des choses avec lesquelles je ne suis pas d’accord, alors j’me dis :
- Au lieu de chialer, mêle-toi-s-en donc!
Quand tu participes aux activités, tu ne vois pas ta ville de la même façon.
Moi, je suis fier de ma Ville, de ses organismes et de mon hôpital.
Mon dernier bébé; l’enfouissement des fils électriques sur la rue Principale; je ne veux pas qu’un jour mon fils me dise :
- Hey papa! T’étais où quand il a été question de ça?»
Jeffry

Jeffry
arbitre

arbitre
LA PRINCIPALE DE COWANSVILLE
Une température encore agréable sous un ciel azur, une annonce de début d’automne sur les hautes cimes des arbres, l’envie me prend de marcher la Principale. Une longue allée de quelques kilomètres qui s’étire, à l’entrée de la Ville, depuis un temple des Témoins de Jéhovah jusqu’à la Caisse Populaire à l’autre extrémité.
Rapidement les tentacules du passé m’agrippent, ralentissent mon rythme et m’immobilisent parfois pour mieux dialoguer avec les ancêtres bâtisseurs de cette artère de ville. Ils me rappellent la fierté toujours présente de leur legs d’esthétisme urbain qui a su allier architecture, espace et nature, une époque bien ancrée à l’environnement, un siècle où on prenait le temps…
Aux abords d’un lac et d’une rivière, une agglomération urbaine encastrée dans un décor bucolique de verdure et animée, dans un enchevêtrement mixte, d’humains et de véhicules en mouvance au milieu d’une population arborescente dense.
Quant à moi, un sentiment de gratitude m’envahit nourri par la beauté des maisons aux allures d’une époque révolue dans ses formes et ses découpages mais qui livre encore aujourd’hui tous ses charmes victoriens et ses espoirs.
Espoirs d’esthétisme, comme une promesse apaisante d’un «encore possible», d’une réconciliation entre ramure et structure. Espoir de l’enfouissement prochain de ces érections disgracieuses que nous offrent les poteaux électriques pour valoriser cette avenue au potentiel géant d’une des plus belles de tous les Cantons de l’Est.
Déambulant sur la Principale, entre saluts et sourires offerts aux passants, réponses aux automobilistes perdus et frôlements nerveux aux chiens trop heureux de promener leur maitre, je m’émerveille de la majesté des arbres, de leur diversité aux milles silhouettes,
Ces raconteurs d’histoire parfois centenaires, ces vétérans ligneux gardiens du privé qui caressent de leur ombre et saluent les passants de l’agitation de leurs feuilles ou de leurs aiguilles,
Ces courtisans victorieux qui tendent leurs mains vers le ciel pour recevoir leur récompense de lumière à s’être soustrait de l’attraction terrestre et... des regards envieux des tronçonneuses.
Ces poumons à ciel ouvert, ces baromètres de santé me rappellent qu’on peut vivre longtemps tout en dégustant la vie à travers ses saisons, ses intempéries et le tumulte des besognes humaines. Pour peu que je me laisse toucher par leurs vibrations, c’est dans le cœur qu’ils me rejoignent, exaltent un sentiment d’amour et d’appartenance à la vie, à l’univers, me rappellent à l’abondance, à la générosité et à la patience.
Compagnons de vie silencieux, je ne peux imaginer leur absence sans l’impression vive d’un grand dénuement et la naissance d’un profond désarroi.
En cours de randonnée sur la Principale, ma reconnaissance s’adresse à ces planteurs d’arbres, ainés et ancêtres et, par extension, aux personnes qui valorisent la beauté intérieure et extérieure et qui perpétuent en gestes concrets la tradition de peupler de végétation les espaces disponibles.
Se rapprochant du centre-ville, ombre au tableau, un grand mur de briques fade et détonnant, un mur des lamentations citoyennes, une discordance dans la continuité, le Domaine du Parc, 1977, que s’est-il passé?
Un mur… comme une brisure désolante d’atmosphère, une envie de modernisme déconnecté, une occasion ratée de mise en valeur d’un des plus beaux sites de la ville.
Consommation et environnement m’apparaissent pourtant conciliables.
Comment réparer?
Au bout de la Principale, tout près de la croisée des chemins vers le centre-ville, une effervescence, un îlot de culture en pleine ébullition qui, comme une volonté de grandir ensemble et en beauté, tente une alliance complice entre activités citadines et culturelles, entre commerces, cinéma et arts visuels.
Ako Millette
Karine

Karine
Sylvie

Sylvie
Jacob

Jacob
x=

x=
hélène

hélène
Lise

Lise
johanne

johanne
Étienne

Étienne
Alain

Alain
Martin et Steve

Martin et Steve
janine

janine
Jonathan

Jonathan
olivier

olivier
robert

robert
Robert

Robert
mains

mains
philippe

philippe
Patrick

Patrick
zineb

zineb
Barber shop

Barber shop
chez Amir

chez Amir